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Temple le Chandelier d'Or (TCO)

EGLISE DES ASSEMBLEES DE DIEU DE YEGUERE (EADY)

Historique du Temple le Chandelier d'Or - Bobo-Dioulasso, Burkina Faso

L’histoire de l’Eglise des Assemblées de Dieu de Yéguéré (EADY), Temple le Chandelier d’Or (TCO) ne saurait être contée en quelques lignes. Nous nous contenterons simplement d’un bref résumé.

Succinctement, l'EADY/TCO prend sa source en avril 2011 lorsque le pasteur Issiaka KABORE était à la recherche d'une parcelle d'habitation. C'est alors que la parcelle AP6405, ex-secteur 21, Belleville appartenant à DRABO Safiatou, fut vendu par monsieur PARE Emmanuel détenteur d'une procuration légalement signée. Un montant de 2,5 millions lui fut versé. Et après une mission au Bénin en cette période, quelle ne fut la surprise de savoir qu'une autre personne était en train de construire sur le même terrain. Suite aux altercations, une autre parcelle (AP6205, ex-secteur 21, Belleville appartenant à Mme BALIMA BAMOGO Fati) fut désignée. Des briques y ont été confectionnées avant que monsieur PARE Emmanuel ne dise que les documents ne sont pas à sa disposition. Ayant montré enfin la parcelle AO1415 ex-secteur 21, Belleville appartenant à BARRO Djènéba dont les documents semblaient être en bonne et due forme, les briques confectionnées y ont été transférées. Comme ce terrain se trouvait à 250 mètres en droite ligne du domicile du pasteur, beaucoup d'autres briques ont été faites chez lui et transportées sur ledit terrain, faisant en tout environ 5000 briques. Des portes, des fenêtres et bien d'autres objets ont été aussi confectionnés. Puis lorsque le rendez-vous fut donné au maçon pour commencer les travaux en juin 2011, une autre personne se mit à construire sur ladite parcelle. La femme du pasteur l'en informa pendant qu'il était en mission à Dori. Mais il laissa continuer les travaux jusqu'à son retour. Une fois, de retour, la situation fut faite à monsieur PARE Emmanuel. Ce dernier en complicité avec un certain BARRO Assane, contactèrent le cabinet d'avocat .......... où Maître YERE Amédée ut en charge du dossier.

Des allers-retours fut faits entre la maison et le cabinet d'avocat sans gain de cause du mois de juillet jusqu'en novembre 2011. Finalement, le dossier parvint à la justice où le juge en charge nous instruisit de lui apporter toutes les pièces à notre disposition tout en prenant soin de faire une copie à l'autre partie adverse. C'est au cours de cet échange de documents que nous nous rendîmes compte qu'il s'agissait de deux BARRO Djènéba de la même famille.

Alors le pasteur opta de ne pas s'immiscer dans le différend familial entre les deux BARRO Djènéba puis de poursuivre monsieur PARE Emmanuel pour rentrer dans son dû. Une lettre en date du 06 janvier 2012 fut écrite à Maître YERE dans ce sens.

L'affaire fut portée ensuite à la connaissance du substitut du procureur monsieur SAWADOGO vers mi-janvier 2012. Ayant été convoqué, monsieur PARE Emmanuel promit rembourser, en présence du substitut du procureur, la somme encaissée le 31 janvier 2012. Au temps fixé, il était porté disparu. Un dossier fut constitué le 27 février 2012 et la gendarmerie de brigade territoriale fut mis à ses trousses mais en vain.

Tous ces évènements ont poussé le pasteur à chercher davantage la face de l'Eternel. C'est ainsi que l'Esprit-Saint l'a conduit à lire le livre de Agée. Au cours de la lecture, les versets 4 à 11 au chapitre un ont retenu son attention. « Est-ce le temps pour vous d’habiter vos demeures lambrissées, Quand cette maison est détruite ? Ainsi parle maintenant l'Eternel des armées: Considérez attentivement vos voies ! Vous semez beaucoup, et vous recueillez peu, Vous mangez, et vous n’êtes pas rassasiés, Vous buvez, et vous n'êtes pas désaltérés, Vous êtes vêtus, et vous n’avez pas chaud ; Le salaire de celui qui est à gages tombe dans un sac percé. Ainsi parle l’Eternel des armées : Considérez attentivement vos voies ! Montez sur la montagne, apportez du bois, Et bâtissez la maison : J'en aurai de la joie, et je serai glorifié, Dit l'Eternel. Vous comptiez sur beaucoup, et voici, vous avez eu peu ; Vous l’avez rentré chez vous, mais j’ai soufflé dessus. Pourquoi ? dit l’Eternel des armées. A cause de ma maison, qui est détruite, Tandis que vous vous empressez chacun pour sa maison. C’est pourquoi les cieux vous ont refusé la rosée, Et la terre a refusé ses produits. J’ai appelé la sécheresse sur le pays, sur les montagnes, Sur le blé, sur le moût, sur l’huile, Sur ce que la terre peut rapporter, Sur les hommes et sur les bêtes, Et sur tout le travail des mains. »

Dans la recherche de la face du Seigneur à travers prières, jeûnes et veillées, le pasteur comprit qu'il était temps d'entreprendre une œuvre nouvelle. En poursuivant avec la lecture du livre de Zacharie, le verset 2 du chapitre 4 fut la source d'inspiration du Temple le Chandelier d'Or ".......Je regarde, et voici, il y a un chandelier tout d’or, surmonté d’un vase et portant sept lampes, avec sept conduits pour les lampes qui sont au sommet du chandelier ; "

Convaincu par l'Eternel Dieu, le pasteur alla voir son principal superviseur pour lui exposer sa nouvelle vision mais celui mis deux pour lui donner répondre. Désormais, il fallait rechercher un local car le Seigneur lui avait mis à cœur le centre ville. Plusieurs parcelles vides et magasins en location du centre ville ont été visités mais les conditions et les prix n'étaient abordables. Après une recherche acharnée de deux mois et demi, le pasteur rencontra le frère R. P. à la BOA et lui exposa le problème. Celui-ci lui posa une question en mooré : "Est-ce le cœur de la ville de Bobo-Dioulasso ou le centre ville que Dieu t'a révélé?". Cette question fit tomber les écailles des yeux du serviteur de Dieu. Le pasteur lui répondit qu'il s'agissait du centre ville. Alors le frère dit qu'il connaissait un terrain se trouvant à Yéguéré. Il avança que l'emplacement n'est pas le cœur de la ville de Bobo mais au vu de la présence des infrastructures comme le CMA de Dô, le CSC, le collège évangélique, l'ISIG, le Lycée professionnel... il pense que c'est le centre ville. Rendez-vous fut pris pour voir le lieu. Après la visite, le terrain faisait 4125 mètres carrés et le propriétaire réclamait initialement 30 millions. Mais une église d'origine nigériane avait conclu la transaction à 23 millions et quand l'argent arriva, les responsables opta de bâtir un temple à Ouagadougou. Le pasteur proposa de payer le terrain à 15 millions et le frère répliqua que ce sont les pasteurs qui prêchent d'exercer la foi. Donc au pasteur de proposer le prix de son choix.

Au premier contact avec le propriétaire du terrain, monsieur SANOGO Sory, la proposition de 15 millions fut faite et celui-ci dit que le pasteur n'était intéressé de payer la parcelle. Un deuxième et un troisième contact permis au pasteur et à monsieur SANOGO de s'entendre sur la somme de 18 millions. Et quand le propriétaire demanda de verser la somme, le pasteur répondit qu'il n'avait que 4 millions. Sur le champ le pasteur fut chassé sous le prétexte qu'il ne voulait pas acquérir la parcelle. Après cette séparation, le pasteur confia le sujet au Seigneur. Un jour, il reçu un coup de fil lui demanda d'avancer rapidement 6 millions avant d'éventuels termes d'accords sur les modalités de payement. Mais où trouver 2 millions supplémentaires ?

Pendant un temps de 3 jours de jeûne et prière, le Seigneur mis au cœur du pasteur d'écrire à son ami monsieur T.O. pour lui demander un prêt de 2,5 millions. Un email fut envoyé le dimanche ... 2012 à ...h du matin et de retour de l'église vers 11h, il reçut un coup de fil l'ami promettant de satisfaire à cette demande dans la semaine. Après la première semaine écoulée, il promit être à Bobo la semaine d'après mais la charge du travail ne lui permit pas. Il proposa le virement bancaire sur le compte du pasteur mais une semaine s'écoulèrent sans gain de cause. Suite à coup de fil du pasteur, l'ami s'excusa et promit de s'exécuter. Puis le pasteur rappela au bout d'une dizaine de jours. Quel ne fut sa joie de savoir que le virement fut fait depuis lors. Se précipitant à la banque, pour vérifier son compte, il fit le même soir un chèque BOA de 6 millions au nom de monsieur SANOGO Sory datant du 30/05/2012.

Une fois en possession du chèque, il le remit en disant qu’il avait un fort besoin d’argent mais cela est rentré dans l’ordre. Donc plus de besoin urgent en liquidité d’argent. La condition fixée fut celle-ci : « il accepte encaisser le chèque de 6 millions et dans un mois le pasteur apporte un complément de 10 millions. Auquel cas, il attendra de vendre la parcelle à une autre personne avant tout remboursement. Pour cela, il remettra seulement une décharge et des photocopies des papiers ».

Le frère R.P. refusa que le pasteur remette à monsieur SANOGO Sory sous prétexte que monsieur PARE Emmanuel s’était enfuit avec la somme de 2,5 millions. Mais le Saint-Esprit convainquit le pasteur de remettre le chèque.

Il fallait courir pour avoir 10 millions dans l’espace d’un mois. Un premier dossier de prêt 6 millions fut monté à la BAO sans issue. C’est à la Caisse Populaire de Colsama qu’un montant de 7 millions fut accordé à titre de prêt au bout de deux mois et une semaine. Bien sûr, cela valut une correspondance d’avertissement de la part de monsieur SANOGO Sory menaçant de vendre la parcelle à une tierce personne. Mais au terme d’une semaine, un second chèque BOA de 7,5 datant du 21/07/2012 fut remis à monsieur SANOGO Sory.

Enfin, le pasteur arriva à vendre le mardi 31 juillet 2012 son terrain (parcelle = 01, Lot = 41, section = 449, secteur = 11, superficie = 434m2 de la ville de Bobo-Dioulasso) à 3 millions. Ainsi un troisième chèque BOA de 3 millions fut donné à monsieur SANOGO Sory le mercredi 1er août 2012. A Ce n’est qu’à cette date que tous les documents officiels furent remis au pasteur en prenant soin de notifier que le reliquat de 1,5 millions devait être payé au plus tard le 31 juillet 2013.

Mais le Seigneur, voulant honorer absolument son nom, accorda au pasteur un marché d’élaboration des curricula de formation en mécanique rurale et en élevage avec Helvetas Corporation. Cela permit dans un premier temps de dresser un hangar de 30 tôles (36 m2), de confectionner la chaire, de payer des baffles, un groupe électrogène de 3,5 KVA, un orgue, etc. Ensuite vers la fin de l’année 2012, le payement de la deuxième tranche du contrat avec Helvetas intervint à point nommé. Dieu fit constater trois choses extraordinaires à son serviteur dans la journée du 31 décembre 2012.

  • Le 31 décembre 2012 fut soudainement la fin de son contrat de travail avec le projet traDE-EFORD : désormais, l’Eternel Dieu devrait être son employeur.
  • Le 31 décembre 2012 fut le jour du payement du reliquat des 1,5 millions à monsieur SANOGO Sory par un chèque BOA en date du 31/12/2012 : L’œuvre du Temple Chandelier d’Or devait prendre racine sur un terrain entièrement et complètement acquit pour la cause du Tout-Puissant Dieu.
  • Le 31 décembre 2012 fut le jour où le principal du temple Rehoboth annonça publiquement à l’église, au cours de la nuit de saint sylvestre, le départ du pasteur pour entreprendre une nouvelle œuvre : L’heure avait réellement sonné et il était temps de manger à la hâte puis de partir (Exode 12:11).

Ainsi l’Eternel Dieu créateur du ciel et de la terre permit le démarrage du premier culte du Temple le Chandelier d’Or le dimanche 6 janvier 2013 à 08h00.


Lire le procès verbal du culte d'ouverture



  

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